Chaque jour, des petites boîtes françaises s’activent pour faire leur part dans la transition écologique et Sinallagma en fait clairement partie. Dans un article publié par Capitaine Carbone, Vincent Bechtel, le fondateur, raconte comment il a tout plaqué pour créer une entreprise en phase avec ses valeurs. Sinallagma est née d’une vraie passion pour les charpentes en structures réciproques, une technique ancestrale à la fois poétique et ultra maligne : moins de bois, zéro clou, zéro colle, zéro vis, et pourtant hyper solide.
Le concept ? Installer des ombrières végétalisées en ville pour créer des îlots de fraîcheur là où on ne peut pas planter d’arbres. C’est local, durable, inspiré du vivant, et ça reste beau longtemps. Vincent veut des structures utiles, belles, qui ne finissent pas en déchets, mais au contraire participent à régénérer nos écosystèmes.
Ce qui ressort de l’article ? Une vraie cohérence entre convictions perso et projet pro, un engagement sincère pour le vivant, et une vision esthétique de la transition écologique. Une belle mise en lumière de notre démarche, et une fierté de voir Sinallagma sur la carte des entreprises qui veulent changer les choses.