La protection de la santé des enfants passe notamment par la mise en place de dispositifs d’ombrage dans les cours d’école. Le phénomène d’îlot de chaleur est également l’apanage de nombreuses cours d’école, en ville comme à la campagne, avec des bâtiments adjacents limitant la circulation de l’air, et de l’enrobé quasi omniprésent accentuant ce phénomène.
Les cours oasis font leur apparition peu-à-peu sur le territoire, bien souvent dans le cadre de projets d’envergure incluant décroutage (suppression partielle ou totale de l’enrobé), végétalisation au sol, plantation d’arbres, jeux ludiques… et une meilleure répartition des élèves dans la cour : la cour n’est plus seulement réservée aux garçons.
Protéger nos enfants des chaleurs, dès le printemps, est un impératif de santé publique. Des enfants protégés, ce sont des enfants moins malades, plus attentifs à l’école, plus concentrés.
Les cours d’école connaissent une utilisation grandissante avec les ALSH, ainsi il ne s’agit plus de protéger les enfants hors des vacances scolaires… c’est désormais toute l’année.
Nous recherchons toutes et tous l’ombre des arbres ou des végétaux lors de fortes chaleurs. Sous une canopée végétale, deux phénomènes principaux entrent en compte pour comprendre cette “sensation” de fraîcheur
Les plantes respirent. Les plantes évapotranspirent.
L’énergie nécessaire au passage de la phase liquide de l’eau à sa phase gazeuse est prélevée dans l’air ambiant, qui naturellement se rafraîchit. Nous pouvons escompter quelques degrés de diminution de la température dite “du bulbe sec” sous une canopée végétale, en règle générale entre 1 et 3°C.
Plus la quantité d’eau évapotranspirée est importante, plus le refroidissement local de l’air sera important.
Il est donc primordial d’avoir une couverture végétale généreuse, avec des végétaux adaptés à leur environnement, pour que le système soit pertinent.
Chez Sinallagma, nous privilégions les plantes en pleine terre, significativement plus résilientes que les plantes en pot qui subiront les affronts des rayonnements solaires (un pot métallique, ça chauffe), et les apports hydriques variables.
Et puis… qui voudrait vivre dans un pot?
La clef de la sensation de fraîcheur sous un couvert végétal réside certainement dans le phénomène de rayonnement.
Tous les corps, s’ils présentent des températures de surface différentes, rayonnent entre eux. Un transfert d’énergie (flux physique que l’on peut déterminer à partir des lois de Stefan-Boltzmann) est établi du corps le plus chaud vers le corps le plus froid.
C’est ce que l’on ressent en été, lorsqu’un nuage passe en plein soleil, une sensation de chute de température, alors qu’au thermomètre, nous ne sommes pas capables de d’objectiver une telle chute. C’est la sensation de “paroi froide” en hiver à l’approche d’une surface vitrée. Ou encore, la sensation de chaleur à proximité d’un feu de bois.
Les plantes évapotranspirent pour la photosynthèse, et pour maintenir une température du feuillage raisonnable. Cette température est bien souvent inférieure (environ 18 à 25°C) à notre température de surface de peau (au-dessus de 30°C en été). Notre peau, à proximité d’un couvert végétal, rayonne ainsi vers les plantes. Un transfert d’énergie crée cette sensation de bien-être que l’on ne peut pas ressentir sous un parasol ou tout autre ombrière non végétalisée dont la température de surface sera supérieure à celle de notre peau.
Nous avons mis en évidence ce phénomène également sur la température au sol qui baisse significativement sous la canopée végétale, rayonnant elle-même moins (voire négativement) vers nos corps en été.
Ci-dessus un cliché réalisé dans la commune de Paimpont en juin 2024 par caméra thermique. Nous pouvons noter un écart de 15°C au sol entre la zone au soleil et sa voisine immédiate à l’ombre des végétaux. La zone foncée correspond au couvert végétal, et à certaines zones de l’ombre au sol. Pour mémoire, cette ombrière de petit gabarit (Telhouët 3m) a été installée sur de l’enrobé et des pavés.
Le nombre de nouveaux cas de cancers de la peau a plus que triplé entre 1990 et 2023. Les carcinomes cutanés représentent 90 % des cancers cutanés diagnostiqués en France selon l’Institut National du Cancer.
Pour prévenir l’érosion de notre “capital soleil”, il est indispensable de protéger nos enfants, dès leur plus jeune âge.
L’installation d’ombrières à forte densité de végétaux permet de limiter les risques d’exposition directe au soleil dans les cours d’école et ailleurs.
Qui voudrait d’un environnement chimique pour ses enfants?
Chez Sinallagma, nous avons opté pour un développement de structures en bois, totalement naturelles et durables. Privilégiant uniquement l’utilisation de ressources locales, nous avons opté pour le bois de châtaignier qui présente une durabilité incontestable en extérieur, sans nécessité de traitement chimique.
A contrario des pins traités Classe IV, gorgés de produits chimiques, nos structures sont naturellement durables. Nous les garantissons par ailleurs 15 ans.
Le bois de châtaignier est reconnu pour durer, en fonction des classes d’emploi, soit
Le châtaignier est le bois qu’utilisaient “nos anciens” pour la construction des calvaires disséminés dans nos campagnes… et que personne ne repeint chaque année.
Les plantes jouent un rôle clé pour un air plus sain dans les cours d’école. Elles agissent comme des filtres naturels, capturant les particules fines et divers polluants qui peuvent nuire à la santé respiratoire des enfants. Grâce à la photosynthèse, elles absorbent aussi le dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre, et libèrent de l’oxygène, contribuant ainsi à un environnement plus respirable.
Certaines plantes peuvent même purifier les sols et l’eau autour d’elles. En installant des plantes adaptées et bien entretenues dans les cours d’école, on améliore non seulement la qualité de l’air mais aussi le bien-être des élèves, tout en sensibilisant à l’importance de la nature.
Les ombrières en bois de châtaignier Sinallagma font l’objet d’une note de calcul réalisée par un bureau d’études indépendant Origine Structures, basé sur Bordeaux. Une équipe d’ingénieurs structure, spécialisés dans la construction bois, et qui applique la méthode de calculs EUROCODE 5 applicable pour les bâtiment à ossature bois.
Nous avons retenu Perpignan comme emplacement afin de prendre les hypothèses de neige et vent qui sont considérées comme les plus défavorables en France métropolitaine.
Sinallagma a développé un cahier des charges ambitieux pour assurer la sécurité des usagers, à savoir :
Notre mobilier remet à l’honneur les assemblages traditionnels des compagnons charpentiers.
Tenon-Mortaise, enfourchement, mi-bois… la fascination de notre équipe pour la beauté de ces architectures ancestrales est entière, et nous a donné envie de les honorer dans le développement de structures en bois de châtaignier durables et robustes.
Afin d’assurer une pose dans les règles de l’Art, Sinallagma conçoit des notices de montage précises, où chaque étape est détaillée.
Les barres constituant chaque structure sont poinçonnées, garantissant une identification sans équivoque.
De plus, le principe d’assemblage des structures réciproques ne laissant pas de place au hasard car chaque pièce a sa place unique, il n’est pas possible de se tromper.
Une équipe d’installateurs professionnels peut prendre en charge l’installation complète des ombrières Sinallagma.
Vous aimeriez le faire, mais vous n’avez pas le temps. Et c’est compréhensible.
Aussi, nous proposons un accompagnement sur-mesure des collectivités et Bureaux d’Études.
De la fourniture seule, à la pose avec installation de végétaux adultes, qui feront effet dès leur plantation, c’est à vous de choisir en fonction de vos envies et contraintes.
Voici les étapes typiques d’un projet
Vous pouvez également opter pour une fourniture seule des structures et végétaux, et une installation par les équipes techniques de la ville, avec notre assistance.
Le temps d’installation typique d’une ombrière de type Telhouët de 5m de diamètre est d’une demi-journée, plantations comprises.
Il est aisé de réaliser ces installations dans des lieux à l’accès difficile par l’utilisation d’engins de levage manuels et compacts.
L’ensemble des pièces de bois constituant les structures sont pré-usinées de manière à permettre un assemblage rapide. Comme les chalets en bois de notre enfance.
Aussi, ces temps courts permettent d’envisager des installations en période scolaire, le mercredi après-midi typiquement. Pas nécessairement besoin d’attendre les vacances.
Nous travaillons de concert avec notre réseau de pépiniéristes et ingénieurs pour vous proposer une palette végétale adaptée à votre environnement.
Les plantes grimpantes nécessitent d’être sélectionnées avec pertinence, pour offrir une expérience végétale de qualité, tout en limitant l’entretien.
Nous avons opté pour l’installation d’une combinaison de plantes adultes couvrant en grande partie les dômes des structures, et de quelques sujets plus jeunes, qui s’épanouiront rapidement.
L’objectif est de créer un modèle de résilience végétale locale, avec une efficacité réelle dès la plantation.
Les plants adultes proposés mesurent généralement entre 5 et 6m de long. Pour une structure Telhouët, il faut compter 3 plants adultes et 2 jeunes plants, qui grimperont donc le long des cinq poteaux de cette structure typiquement adaptée pour les cours d’école.
Il est des projets qui font débat au sein d’un Conseil Municipal, et c’est normal. Une collectivité peu dispendieuse assure sa sécurité et son autonomie financières.
Végétaliser une cour d’école permet de créer de la cohésion au sein de la Commune, car il en va de la santé et de la sécurité de nos enfants. Ce sont bien souvent des projets consensuels qui rapprochent les différentes forces en mouvement.
Installer des ombrières végétalisées Sinallagma vous permet de proposer un projet concret, rapide à mettre en œuvre et à un budget raisonnable puisque nous sommes la plupart du temps sous les seuils des marchés publics. Ceci vous permet de passer en gré-à-gré et ainsi gagner du temps pour déployer rapidement vos projets.
Qui mieux que les élus pour donner des orientations à la Cité ? Décider de végétaliser une place ou une cour d’école est un acte politique fort, un message aux administrés de l’importance que revêt la protection des enfants dans un monde soumis aux effets du changement climatique. Un exemple qui pourra faire des émules et ainsi participer à cette grande Entreprise qu’est l’adaptation au changement climatique… en commençant par les plus fragiles : nos enfants.
Le déploiement d’ombrières réciproques végétalisées dans les cours d’école peut parfaitement s’intégrer à vos projets pédagogiques, autour de la Nature en ville, du changement climatique, de la culture, des sciences naturelles ou encore des mathématiques.
Les multiples facettes de ces ombrières – qui ne sont pas que des ombrières – embarquent les élèves dans un projet porteur de sens et d’espoir.
Rien de tel que de profiter des beaux jours pour faire classe dehors. À l’abri d’un couvert végétal dense d’une ombrière Sinallagma, il est possible d’installer de nombreux élèves, tables, chaises et bancs. Et pourquoi ne pas faire cours par-terre ?
Notre système modulaire permet de créer de grandes surfaces ombragées et à l’abri de la chaleur. Un cocon végétal protecteur écarte les enfants des dangers du soleil et des canicules.
Les structures réciproques, comme base d’une ombrière végétalisée, permet de transmettre et partager un certain nombre de concepts et valeurs auprès des élèves attentifs.
C’est passer de l’ombre à la lumière, de l’ignorance au savoir.
Génie parmi les génies, Léonard de Vinci (1453-1519) a couché sur papier quelques dessins d’étude de Structures réciproques dans son Codex Atlanticus, dans la droite ligne de l’architecte médiéval Villard de Honnecourt (1200-1250).
Ce concept de maillage de barres, où “chaque barre tient sur la suivante, autant qu’elle soutient la précédente”, dans un principe de réciprocité, constitue un message d’espoir pour les générations futures.
Tant dans la frugalité des ressources (environ 25% de bois en moins en comparaison des charpentes traditionnelles), que dans le message qui est porté.
Dans un lieu de transmission, la réciprocité a toute sa place.
Le corps enseignant peut alors s’aventurer dans les pas de Léonard de Vinci en expliquant la géométrie sous-jacente, la beauté des formes, le Nombre d’Or que l’on retrouve souvent dans les structures Sinallagma
L’approche biomimétique mise en oeuvre de la conception à la fabrication de nos structures est basée sur un principe premier :
déchet = ressource
La nature ne crée pas de déchets; aussi, nous avons conçu les premières structures végétalisées, naturellement durables, sans chimie, sans plastiques, sans matériaux synthétiques… et qui ne seront donc pas considérées comme des déchets en fin de vie. Le matériaux bois est l’unique option pour nos structures en châtaignier local (forêts bretonnes et normandes), bois qui retournera “à la terre” pour stocker le carbone embarqué durant la pousse de l’arbre.
Les structures réciproques, c’est aussi une fabuleuse inspiration de la nature. En effet, le maillage des structures (notamment le modèle Telhouët), s’inspire à l’échelle macroscopique de la structure microscopique des pattes avant de la squille multicolore, et de son agencement hélicoïdal multicouches.
Cet agencement permet de dissiper l’énergie d’impact dans toute la structure, de manière fractale, sans l’endommager.
Appliqué à une structure, ce système constructif présente une meilleure résilience face aux risques sismiques.
Ainsi, partager des connaissances sous une ombrière Sinallagma, c’est aussi ouvrir un champs des possibles avec la découverte du biomimétisme dont le centre d’excellence européen est situé à Senlis : le CEEBIOS.
Sinallagma expose par ailleurs ses structures au plus grand événement du biomimétisme mondial, dont la prochaine rencontre aura lieu les 12 et 13 septembre 2025 à Marseille.
Le changement climatique frappe de plein fouet les nouvelles générations. Elles seront “aux manettes” d’ici une ou deux générations. Le temps de la sensibilisation est évidemment venu, avec son lot d’espoirs et ses stratégies d’adaptation heureuses.
Dans ce cadre, faire classe dehors, dans un îlot de fraîcheur, un cocon de nature, permet de se retrouver dans du concret, du sensible. L’adaptation au changement climatique est matérialisée par un objet/concept qui les entoure et les protège.
La convivialité de ces instants est propice au partage et aux échanges réciproques, car le changement climatique est l’une des neuf limites planétaires dont seules trois n’ont pas été franchies.
Installer une ombrière végétalisée, ce n’est pas que pour faire de l’ombre. C’est une manière, un prétexte, pour transmettre un peu de culture à nos enfants. L’expérience du végétal, notamment pour les urbains, est au cœur de l’apprentissage du jeune citoyen.
Connaissance du végétal, photosynthèse, irrigation, résilience, effets sur la biodiversité… sont autant d’aspect que les enseignants peuvent explorer avec les élèves dans le cadre de projets pédagogiques.
Alors pourquoi ne pas intégrer les ombrières à proximité d’un potager expérimental, et d’utiliser une partie de la structure pour y faire pousser des haricots, courgettes, cornichons, tomates…
Concept assez récent, la low-tech qualifie des objets, des systèmes, des techniques, des services, des savoir-faire, des pratiques, des modes de vie et même des courants de pensée, qui intègrent la technologie selon trois grands principes :
Utile. Accessible. Durable.
Il nous a semblé que cette approche devait faire partie de l’ADN de Sinallagma, et constitue d’une certaine manière un terreau fertile pour les générations futures. Concevoir low-tech, c’est penser à la finitude des ressources, à la réparabilité, la durabilité, la convivialité au sens d’Ivan Illich (1926-2002).
Concevoir low-tech donne de l’espoir aux élèves qui feront la société de demain.
Les ombrières végétalisées Sinallagma permettent un déploiement en plusieurs phases, ce qui permet de s’adapter aux budget de plus en plus contraints.
Nul besoin d’attendre la désimperméabilisation totale ou partielle d’une cour d’école pour faire votre part, l’installation d’une ombrière est simple et rapide et peut se réaliser sur la partie enrobée.
Il conviendra de s’accorder sur le mode d’ancrage au sol (micro-pieux, plots…) des structures et de définir l’emplacement exact dans la cour, pour lancer l’opération.
Les plantes, de préférence en pleine terre, bénéficieront d’une fosse généreuse, permettant leur développement et une meilleure résilience, notamment en période estivale où l’effectif des services techniques ou espaces verts peut être réduit.
Typiquement, une demi-journée est nécessaire pour l’installation complète d’une structure, incluant la végétation. Ceci permet une grande flexibilité dans les périodes d’intervention qui ne se cantonnent plus nécessairement uniquement aux périodes scolaires. Un mercredi après-midi est tout-à-fait réaliste pour imaginer l’installation d’une ombrière.
Il est également possible de baliser un espace de cour de récréation de façon à travailler en toute sécurité (pour les installateurs Et pour les élèves et enseignants) en période de classe, avec une coordination en bonne intelligence avec les services concernés.
Pour avancer dans vos projets à votre rythme, et permettre un étalement budgétaire si besoin, Sinallagma propose une approche modulaire.
Pour exemple, les trois illustrations de cour d’école avec le modèle Telhouët de 5m de diamètre (environ 20m2 d’îlot de fraîcheur), déployé à trois moments distincts.
Avec des structures rapprochées, le couvert végétal peut s’étaler d’une structure à l’autre et former une canopée continue intéressante.
Certaines places ou cours d’école voient leur utilisation évoluer au cours de l’année (fêtes de village, courses, jeux, concerts…). Aussi, il est tout à fait possible de déplacer les structures ou de les démonter facilement.
Il conviendra pour cela de disposer les végétaux avec la plus grande précaution afin de les conserver en bon état.
En fonction des engins de levage à disposition, voici les modes opératoires les plus courants :
Nos ombrières sont livrées dans une caisse en bois qui peut être stockée dans les ateliers municipaux et ré-utilisée lors du démontage temporaire.
Élue par un jury composé de Maires (évidemment), Sinallagma est l’heureuse lauréate du Prix de l’Innovation Territoriale dans la catégorie “Planification Écologique”. Une reconnaissance des élus pour les bénéfices des ombrières végétalisées dans l’adaptation au changement climatique.
Les Maires nous ont ainsi récompensé pour :
Une reconnaissance décernée à la Maison d’Egypte, à Paris par un panel d’architectes et d’amoureux du patrimoine. le “Care d’Or” récompense les projets et initiatives en “architecture, recherche et application”. Ce sont les ombrières végétalisées, et notamment le principe de réciprocité qui est ainsi mis à l’honneur. De l’architecte médiéval Villard de Honnecourt à nos jours, en passant par le Maître Léonard de Vinci, Sinallagma innove dans l’architecture frugale.
Au-delà de l’objet, la réciprocité… c’est de la Culture.
L’ombrière Châtenay est ici récompensée pour son caractère innovant. Une première pour une structure en bois végétalisée, dont le design du dôme s’inspire des écailles de tortue. Son côté organique, associé aux techniques de charpente des Compagnons du Devoir, permet une intégration harmonieuse dans le patrimoine bâti.
Sinallagma a la joie de participer aux missions du CIBI (Conseil International Biodiversité et Immobilier) en qualité de membre. Cette association promeut la biodiversité dans les projets de construction, notamment urbains.
Par l’introduction de végétaux en pleine terre et la densification de la canopée végétale, les ombrières végétalisées contribuent au développement d’une trame verte et au retour de la biodiversité.
Un cocon végétal protecteur pour des insectes et des oiseaux, ainsi qu’un retour des butineurs, en fonction de la palette végétale qui sera choisie.
Ainsi, installer des ombrières végétalisées dans les cours d’école permet d’y introduire du vivant “non-humain”, et de faire apprécier aux enfants les services écosystémiques d’une installation de ce type.
le respect des autres commence par le respect de la nature.
Chez Sinallagma, nous sommes des charpentiers passionnés. Nos ateliers ainsi que notre Bureau d’Etudes sont situés en Bretagne, à 30 minutes à l’Ouest de Rennes, en forêt de Brocéliande.
Nous avons noué des partenariats avec des entreprises du paysage de confiance, pour mailler le territoire, et vous proposer une solution clef en mains, locale.
Notre équipe technique est disponible, avec le sourire, pour répondre à vos questions et ous aider dans vos projets.
Les pépiniéristes et ingénieurs du paysage partenaires par ailleurs sont tous localisés en France.
En résumé, nous proposons un accompagnement aux petits oignons, pour votre plus grand confort.
L’emploi de bois de châtaignier, une essence noble de feuillus, associé aux techniques de charpente des Compagnons du Devoir et au design atypique et intemporel des structures réciproques, donne lieu à des projets architecturaux de qualité.
Les contraintes d’urbanisme et d’architecture deviennent des opportunités pour nos charpentiers de proposer des structures bois en adéquation avec votre patrimoine.
De plus, nos collaborations artistiques rendent chaque pièce unique, avec l’intégration de fer forgé ancien et de vitraux d’Art sur mesure, en fonction de votre projet.
Ainsi, il est possible de réaliser les armoiries de votre commune et de les intégrer dans une structure, de réaliser une forge selon des dessins d’enfants, ou en reprenant des éléments distinctifs du patrimoine architectural local. C’est l’une des étapes créatives du projet, qui implique généralement la collaboration des équipes enseignantes et des élus concernés.
Nous avons opté pour l’utilisation du bois de châtaignier pour diverses raisons :
Le modèle des structures réciproques, basé sur le principe des voûtes, permet d’obtenir de grandes portées avec de faibles longueurs et sections de bois. C’est le principe bien connu de la construction des voûtes des cathédrales notamment.
Ainsi, nul besoin de réaliser des barres en lamellé-collé, nous n’employons que du châtaignier massif.
Soucieux de la préservation de la planète, persuadés que nous pouvons fabriquer en France des objets de qualité à des tarifs compétitifs, et qu’il est de notre devoir de participer à l’effort national de relocalisation des savoirs et des métiers, nous avons opté pour une fabrication entièrement bretonne.
De la conception à la fabrication, notre équipe technique a imaginé des processus respectueux de l’environnement.
Chaque geste compte son empreinte carbone. Le bois stocke naturellement du carbone, il convient donc de préserver la ressource et de replanter à mesure que nous empruntons à la Terre un châtaignier.
La plus importante contribution à la réduction de notre empreinte carbone consiste en l’usinage de bois “brut de scie” ou “ressuyé”, c’est–à-dire non séché artificiellement. La grande majorité des bois d’œuvre du commerce ont fait l’objet d’un passage en étuve pour sécher le bois en quelque jours là où un séchage naturel prendra plusieurs mois.
Afin d’éviter cette dépense énergétique conséquente, Sinallagma a opté pour l’utilisation des techniques anciennes des compagnons charpentiers en travaillant le bois vert. A l’instar de la charpente de Notre Dame de Paris, nos ombrières sèchent à l’air libre une fois installées.
Notre système constructif permet au bois de “bouger” sans impact sur la solidité de la structure. En effet, des jeux de fonctionnement sont prévus dès la conception.
L’approche la plus low-tech et écologique possible nous conduit à ré-inventer un mode de construction respectueux de l’environnement et garantissant la santé enfants.
Les structures réciproques Sinallagma ne contiennent pas de produits chimiques, ainsi pas de pollution et un environnement sain.
Aucun plastique ou autre dérivé de la pétrochimie n’est employé pour nos structures, car entièrement réalisées en bois de châtaignier. Nous revenons aux principes ancestraux de charpente traditionnelle, en y ajoutant le design des structures réciproques.
Ceci nous permet d’affirmer que les structures Sinallagma, malgré leur longévité, ne constitueront aucunement un déchet en fin de vie.
Besoin d’informations ?
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Nos équipes sont à votre écoute, déjà enthousiastes à l’idée d’échanger sur vos projets.
Horaires : Lundi – Vendredi 9h – 18h
Téléphone : +33 (0) 2 30 96 14 22
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